Éolien flottant : « Toute la filière doit l’emporter » (C. de Jouëtte, EDF power solutions)

News Tank Energies - Paris - Entretien n°407234 - Publié le
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« À l’issue du projet de Provence Grand Large, il y a de nombreux sujets que nous pouvons partager. Nous avons d’ailleurs commencé à le faire au fur et à mesure car ce n’est pas un seul projet qui doit réussir mais c’est toute la filière qui doit l’emporter. Si nous voulons que la technologie de l’éolien en mer flottant se déploie à plus grande échelle, il faut que toutes les fermes pilotes soient capables de parvenir jusqu’en phase d’exploitation », déclare Christine de Jouëtte, directrice du parc éolien en mer flottant Provence Grand Large, à News Tank le 04/08/2025.

Cette ferme pilote de 25 MW Mégawatt située à 17 km des côtes de Port-Saint-Louis-du-Rhône (Bouches-du-Rhône), a été mise en service par son exploitant EDF Électricité de France power solutions le 05/06/2025.

« Ce qui est très innovant, c’est que nous avons choisi un design de flotteur qui est, pour nous, ce qui se fait de plus stable. Le choix s’est porté sur une plateforme à lignes d’ancrage tendues et ces lignes sont inclinées et non verticales comme ce que l’on retrouve dans l’industrie de l’oil & gas. Cela permet de réduire considérablement les mouvements du flotteur quand il est soumis à la houle. »

« Cela nous a beaucoup appris, et pas seulement sur les sujets techniques et technologiques mais également au niveau contractuel, environnemental, ainsi que sur les opérations marines. Nous avions besoin de dérisquer au maximum notre projet. Cela ne signifie pas que par la suite nous ne sélectionnerons que des plateformes à lignes tendues, mais pour le premier projet, il nous a paru important de sécuriser l’intégrité de la turbine en minimisant les mouvements du flotteur. »

« En étant pionniers, nous avons été confrontés à des défis nouveaux auxquels il a fallu à chaque fois apporter des solutions. Prenons l’exemple des standards de conception des éoliennes flottantes. Tous ceux que nous suivons pour le design ont été mis au point pour l’éolien posé et ne sont pas toujours spécifiques à l’éolien flottant. En discutant avec l’organisme de certification, le Bureau Veritas, nous avons proposé des méthodes de calcul de charges sur la turbine pour prendre en compte plus finement la turbulence du vent. »

Design, suivi scientifique, collaboration avec le territoire, logistique portuaire : Christine de Jouëtte répond aux questions de News Tank.


EDF power solutions a annoncé la mise en service complète du parc éolien en mer flottant Provence Grand Large le 05/06/2025. Le projet est-il totalement achevé ?

À la suite de son raccordement au réseau, le parc pilote a commencé à produire de l’électricité mi-novembre 2024. Avant d’achever la mise en service complète du parc, nous avons dû réaliser des tests électriques complémentaires sur l’une des turbines. Désormais, les trois turbines sont entièrement opérationnelles, et la campagne de tests électriques est achevée.

Le parc est raccordé au réseau via le poste électrique de RTE Réseau de transport d’électricité de Port-Saint-Louis-du-Rhône. Depuis mi-novembre, 30 GWh Gigawatt-heure ont été produits. Au total, cette ferme de 25 MW produira l’équivalent de la consommation annuelle de 45 000 habitants, soit une ville comme Martigues.

Ce parc est le premier parc éolien en mer flottant français. Quelles sont ses autres caractéristiques marquantes ?

Le projet est resté fidèle à son design et à son turbinier depuis l’origine, en 2016. Le parc utilise trois turbines Siemens Gamesa Entreprise spécialisée dans la conception, la vente, l’installation, l’exploitation et la maintenance d’éoliennes onshore et offshore• Création : 1976 (Gamesa) / 2017 (fusion entre Siemens Wind… de 8,3 MW à entraînement direct. Ce sont des turbines standards pour l’éolien en mer mais installées sur des flotteurs conçus spécifiquement.

Ce qui est très innovant, c’est que nous avons choisi un design de flotteur qui est, pour nous, ce qui se fait de plus stable. Le choix s’est porté sur une plateforme à lignes d’ancrage tendues conçue par SBM Offshore, un industriel qui travaille dans le domaine de l’industrie pétrolière, en collaboration avec l’Ifpen Institut français du pétrole énergies nouvelles . Le flotteur est donc tenu par des lignes d’ancrages au fond de la mer.

La première spécificité est que ces lignes sont inclinées et non verticales comme ce que l’on retrouve dans l’industrie pétrolière. Cela permet de réduire énormément le mouvement du flotteur quand il est soumis à la houle. Il réagit davantage comme un pendule dont le point fixe se situe au niveau de la nacelle. Des simulations numériques et des essais en bassin à échelle réduite effectués chez Océanide à La Seyne-sur-Mer (Var) ont confirmé l’efficacité du concept. Pour une première, nous avons pensé que c’était une bonne solution afin de préserver l’intégrité des composants mécaniques, électriques, électromécaniques en haut d’une tour de 90 mètres, au niveau de la nacelle.

Préserver l’intégrité des composants  »

C’était un enjeu d’autant plus important qu’EDF power solutions Entité d’EDF créée par le rapprochement d’EDF Renouvelables et la Direction Internationale du groupe EDF• Création : 2025• Activité : développer, construire et exploiter des moyens de production… met en place des fermes pilotes pour tester des technologies mais également pour analyser la rentabilité du projet. Nous avions donc besoin d’une courbe de puissance et d’une disponibilité des turbines garanties par le turbinier.

Le support très stable du flotteur a convaincu Siemens Gamesa de garantir la courbe de puissance et le taux de disponibilité des turbines. Cela était rassurant : nous ne nous lancions pas dans une innovation qu’on ne maîtrisait pas. Il s’agit d’une innovation mûrie pas à pas et pour laquelle nous avons contrôlé un maximum les risques.

De plus, l’emprise au sol de ce système d’ancrage est très limitée, ce qui n’est pas négligeable puisque nous sommes dans une zone où l’activité de la pêche est importante. Les lignes tendues ne touchent pas le sol et n’entraînent aucune érosion du sol marin.

Par ailleurs, les trois flotteurs sont reliés entre eux par des câbles dynamiques de 66 000 volts, conçus pour supporter les mouvements d’un flotteur pendant 20 ans. EDF power solutions a réalisé des essais de fatigue avec un échantillon à taille réelle pendant huit à neuf mois.

Nous avons souhaité travailler avec un organisme de certification, le Bureau Veritas, tout au long du projet, notamment sur la caractérisation du site, la conception et la construction des flotteurs, l’installation en mer des éoliennes flottantes, et enfin la mise en service du parc.

Le certificat final du projet vient de nous être remis. Cette certification est pour nous un gage du grand sérieux avec lequel nous avons travaillé. Quand nous avons cherché à financer notre projet, les banques ont été rassurées de voir que notre projet était suivi par un organisme de certification tel que le Bureau Veritas. Nous avons désormais neuf banques qui nous accompagnent depuis le closing financier en 2021.

Dans quelle mesure vous êtes-vous inspirés des technologies déjà déployées hors de France dans l’éolien flottant ?

Le travail de veille technologique est aussi très important. Il existait notamment le projet Floatgen d’Ideol au large du Croisic (Loire-Atlantique), et Windfloat de Principle Power sur des semi-submersibles au Portugal. Nous avons étudié ces technologies et nous poursuivons nos investigations sur les technologies de flotteurs les plus prometteuses.

Chez EDF power solutions, nous travaillons en forte synergie avec la R&D Recherche et développement du groupe EDF qui a développé des modèles très sophistiqués pour simuler l’interaction entre les effets aérodynamiques, hydrodynamiques et le système d’ancrage. Nous pouvons introduire dans ces modèles le contrôle-commande de la turbine.

Il nous était ainsi possible de simuler par nous-mêmes, pour les conditions environnementales représentatives du site de Provence Grand Large (vent et houle), les mouvements du flotteur obtenus pour différents cas et de les analyser. Encore une fois, l’élément clé qui a permis en 2017 de choisir les plateformes à lignes tendues est leur grande stabilité comparable à celle des fondations pour l’éolien posé.

Les éoliennes les plus puissantes installées en France »

Cela nous a beaucoup appris, et pas seulement sur les sujets techniques et technologiques mais également au niveau contractuel, environnemental, ainsi que sur les opérations marines. Nous avions besoin de dérisquer au maximum notre projet. Cela ne signifie pas que par la suite nous ne sélectionnerons que des plateformes à lignes tendues, mais pour le premier projet, il nous a paru important de sécuriser l’intégrité de la turbine en minimisant les mouvements du flotteur.

Le rotor de 150 mètres de diamètre est le cœur de l’éolienne, situé à 90 mètres de hauteur, au-dessus du flotteur. Il s’agit des éoliennes les plus puissantes installées en France, et qui plus est, sur un support flottant et sur un site extrêmement venté (10m/s en moyenne). Tout cela nous a permis d’acquérir une grande expérience que nous valoriserons pour le déploiement d’autres parcs flottants de plus grande échelle.

Quels enseignements tirez-vous de ce projet, à la fois pour EDF mais aussi pour la filière ?

Il y a de nombreux sujets que nous pouvons partager. Nous avons d’ailleurs commencé à le faire au fur et à mesure car ce n’est pas un seul projet qui doit réussir mais c’est toute la filière qui doit l’emporter. Si nous voulons que la technologie de l’éolien en mer flottant se déploie à plus grande échelle, il faut que toutes les fermes pilotes soient capables de parvenir jusqu’en phase d’exploitation.

En étant pionniers, nous avons été confrontés à des défis nouveaux auxquels il a fallu à chaque fois apporter des solutions. Prenons l’exemple des standards de conception des éoliennes flottantes. Tous ceux que nous suivons pour le design ont été mis au point pour l’éolien posé et ne sont pas toujours spécifiques à l’éolien flottant. En discutant avec l’organisme de certification, le Bureau Veritas, nous avons proposé des méthodes de calcul de charges sur la turbine pour prendre en compte plus finement la turbulence du vent.

Nous avons également proposé de travailler avec des lidars flottants pour avoir une meilleure connaissance du vent et des turbulences de vent au large des côtes. Nous avons donc échangé à ce sujet avec d’autres acteurs du secteur. Nous avons également travaillé sur les standards électriques avec l’Apave.

Au niveau de l’exploitation et de la maintenance, y aura-t-il des choses spécifiques à ce parc et à la technologie choisie ?

En ce qui concerne la maintenance prédictive, nous avons un suivi régulier à faire sur certains composants de la machine. Pour la maintenance corrective, nous avons un contrat avec nos deux fournisseurs Siemens Gamesa pour entretenir les turbines et SBM Offshore pour les flotteurs.

Des machines très instrumentées »

Les éoliennes flottantes de PGL sont très instrumentées, du fait du caractère pilote de la ferme. Il y a tout un système de monitoring du suivi du fonctionnement des turbines. Nous avons également instrumenté les flotteurs pour suivre leurs mouvements et les phénomènes de fatigue de certaines parties à l’aide de jauges de contraintes. Par ailleurs, tous les câbles dynamiques et statiques contiennent un système de monitoring de suivi de la température et de détection des chocs. C’est une première. Tout cela nous aidera à anticiper ou, en cas de problème, à réagir au plus vite pour corriger le problème.

De même que les turbines doivent passer une série de tests (appelés « run tests ») attestant de leur bon fonctionnement, nous avons voulu reproduire le même principe pour les flotteurs. Pendant une durée donnée, nous avons vérifié les mouvements du flotteur en conditions dites « extrêmes » ou en conditions plus opérationnelles et vérifié qu’ils évoluaient dans l’enveloppe prédite lors de leur conception.

EDF power solutions a mis en place un comité scientifique de suivi et de surveillance sur ce projet. Quel rôle a-t-il eu et est-il encore amené à jouer ?

Nous avons mis en place un comité de suivi, de surveillance et d’information pendant la construction car la ferme est située dans une zone très proche des parcs naturels des Calanques, de la Camargue et de Port Crau. Nous sommes près de la Côte bleue dans un endroit où la biodiversité est très importante. Il y a notamment de nombreuses espèces d’oiseaux. Nous avons échangé avec les associations de protection de la biodiversité et il nous a semblé important de décrire comment la ferme allait s’intégrer dans ce milieu.

Nous avons procédé par étapes. Avant l’installation des éoliennes, nous avons caractérisé les lieux grâce à des campagnes aussi bien en mer qu’aériennes. Nous avons voulu caractériser les espèces présentes dans la zone (les oiseaux et les poissons) mais aussi les sédiments au fond de l’eau, la qualité de l’eau, le bruit ambiant. Cette caractérisation à l’état zéro, nous l’avons portée à la connaissance des scientifiques.

Ensuite, pendant la construction, nous avons adopté le même système de suivi pour voir si l’implantation des éoliennes entraînait un impact sur l’environnement. Chaque année, nous remettons un rapport au comité scientifique avec lequel nous échangeons sur nos résultats. Cela est très intéressant car nous sommes comme un observatoire au réel.

Chaque éolienne est équipée de systèmes effaroucheurs reliés à des caméras. Sur l’éolienne numéro 2, il y a également un radar à oiseau d’une technologie avancée qui doit détecter, dans un rayon de 10 km, toute présence d’oiseau. Nous nous devons d’exploiter ces images et cela fait partie des documents que nous remettons au comité. Il est prévu que ce comité perdure au moins cinq ans.

Comment s’est passée la collaboration avec les acteurs locaux ?

Nous avons eu une très bonne acceptabilité du projet par les collectivités locales, en particulier par le Maire de Port-Saint-Louis-du-Rhône qui nous a ouvert grand ouvert les bras. Nous avons aussi beaucoup travaillé avec la Région Sud, la Métropole d’Aix-Marseille et le Grand Port maritime de Marseille.

Un projet éolien flottant nécessite de la place parce que, contrairement à l’éolien posé, l’installation sur le flotteur de la tour puis de la turbine s’effectue dans le port et non pas en mer. Nous devions donc trouver un endroit pour réaliser cette intégration et pour stocker les flotteurs avant de les emmener en mer. Nous avons commencé à discuter avec le GPMM Grand Port Maritime de Marseille qui nous a mis en relation avec certains opérateurs pour trouver des solutions. Cette aide a été déterminante pour la sélection des emplacements et donc des opérateurs avec lesquels nous devions gérer les potentielles co-activités.

Une très bonne acceptabilité du projet par les collectivités locales »

Comme il n’y a aucun emplacement au port prévu spécifiquement pour l’éolien flottant à l’heure actuelle, nous avons trouvé une solution spécifique pour le projet :

  • Le quai Gloria où nous avons réalisé l’intégration de la turbine sur le flotteur,
  • Le quai Graveleau pour le stockage des flotteurs avec et sans turbines ainsi que les activités de pré-mise en service des éoliennes avant le remorquage en mer.

Outre l’enjeu d’espace bord à quai, il y a des problématiques liées aux quais eux-mêmes. Actuellement, ils ne sont pas conçus pour avoir une capacité portante suffisante pour accueillir nos projets. Nous avons besoin de 20 tonnes/m2. Sur ce point la Métropole d’Aix-Marseille et la Région Sud ont soutenu le GPMM pour renforcer le quai Gloria et nous permettre de stocker sur le quai les composants de la nacelle, les pales et des segments de tour.

Une belle collaboration a également eu lieu avec la société Eiffage Métal. Au pic de l’activité, environ 200 personnes ont travaillé sur le chantier pour l’assemblage des flotteurs. Enfin, nous avons beaucoup travaillé avec les pilotes du port de Marseille qui ont remorqué les flotteurs hauts de 45 m et larges de 80 m. Les dockers du port de Marseille nous ont aidés pour le transport et l’assemblage de tous les colis lourds.

Cette logistique portuaire a-t-elle été un défi supplémentaire dans le projet ?

Oui complètement. Il a fallu le support de tous pour y arriver. La difficulté a aussi été de gérer tous les aspects relatifs à la sécurité car il s’agit de travailler en hauteur, avec des colis lourds à transporter. Les amarrages bord à quai sont aussi extrêmement importants. Nous avions deux grues, dont une très grande pour faire tout le levage des composants sur la tour. Il faut donc des chemins de grue spécifiquement conçus pour endosser la capacité portante des grues.

Ces infrastructures et cette organisation portuaire pourraient-elles resservir pour un autre projet ?

Désormais il faut passer à une autre échelle. L’emplacement dont nous disposions pour faire l’intégration des turbines sur le flotteur sur le quai Gloria se trouvait sur un quai partagé avec une société de transport de céréales et une société de transport de voitures de location. Nous avions chacun nos contraintes de planning et de business et il a fallu sans cesse trouver des arrangements.

De plus, lors de l’intégration d’une turbine sur un flotteur, le flotteur doit impérativement rester très stable donc il faut limiter tous déplacements de navires à proximité. Cela nécessite des échanges quasi-quotidiens avec les opérateurs portuaires avec lesquels le projet est en contact et une grande anticipation pour la gestion des plannings.

La logistique portuaire, un poste à surveiller attentivement »

De plus, ces emplacements sont trop petits. Nous avions sur ce projet une partie du quai Gloria pour stocker les composants des trois turbines ainsi que les segments de tours. La prochaine ferme sur laquelle nous allons travailler aura une capacité dix fois supérieure à celle de PGL (250 MW) pour une vingtaine d’éoliennes flottantes.

Dans le cadre d’une ferme pilote, on teste un grand nombre de sujets, mais pour une ferme commerciale la rentabilité est très importante. Il faut être capable de montrer qu’avec le type de technologie sélectionnée et l’organisation générale du projet, on peut produire de l’électricité à un coût compétitif. Pour atteindre cet objectif, la logistique portuaire — qui est un centre de coût très important — est l’un des postes à surveiller très attentivement.

Vous avez rejoint EDF power solutions en 2017 pour prendre la tête du projet Provence Grand Large. Quel regard portez-vous finalement sur le projet et ces neuf années ?

C’est avant tout une aventure humaine car le succès d’un tel projet, après neuf ans d’effort, tient notamment à la motivation et aux personnes qui ont travaillé intensément sur ce projet. Il faut se rappeler que nous avons fait face aux difficultés de faire progresser un projet lors de la pandémie mondiale du Covid, des problèmes d’approvisionnement des matières premières dues à la guerre en Ukraine, des conditions climatiques difficiles sur les chantiers dans le sud de la France.

Le management d’EDF a toujours été là pour soutenir l’équipe dont le dénominateur commun était d’être très concerné par le réchauffement climatique et la recherche de solutions d’énergie renouvelable.

EDF power solutions

Entité d’EDF créée par le rapprochement d’EDF Renouvelables et la Direction Internationale du groupe EDF
• Création : 2025
• Activité : développer, construire et exploiter des moyens de production d’énergies renouvelables et bas carbone ainsi que des solutions de flexibilité et de transport d’électricité
• Implantation : 25 pays
• Chiffres-clés : 31 GW bruts de capacités de production d’électricité bas carbone en exploitation dans le monde ; 71 TWh bruts d’électricité produite
• Chiffre d’affaires : 7 Md€
• Effectifs : 10 000 salariés dans le monde
• Direction : Béatrice Buffon , directrice exécutive Groupe en charge des activités d’EDF power solutions
• Contact : Mathieu Baratier, responsable du service presse


Catégorie : Producteur
Maison mère : EDF


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Fiche n° 16755, créée le 17/06/2025 à 12:00 - MàJ le 26/09/2025 à 08:17

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• Implantation : 25 pays
• Chiffres-clés : 31 GW bruts de capacités de production d’électricité bas carbone en exploitation dans le monde ; 71 TWh bruts d’électricité produite
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